Accueil

Geek

Entreprises

Publicité et marketing

Conseil Recrutement

Contact

Ce qu’il faut savoir sur le growthhacking

Je  pense qu’on s’est tous déjà demandé comment faire pour maximiser les visites sur un site web sans pour autant se ruiner. À première vue, ça relève de l’impossible et on se dit à l’avance qu’il vaut mieux encore rester sur les petites méthodes qui nous ont fait avoir une dizaine de vues par semaines jusque-là.

Le héro du jour s’appelle Growthhacking, et il a justement pour effet de maximiser les vues sans que vous ayez à crier que vous avez mal à votre portefeuille. Si vous ne savez pas encore ce que c’est, je vais tout de suite vous le dire.

En quoi ça consiste ?

Pour définir le growthhacking, je dirais que c’est une méthode des plus simples qui allie analyse des résultats et automatisation à une bonne dose d’ingéniosité. Le principal étant bien sûr de vous faire gagner des visites, tout en minimisant les dépenses au maximum. À une époque, il était réservé aux développeurs. Mais ça, c’était avant que les startups ne s’en emparent pour le démocratiser.

Il faut toutefois noter que le growthhacking n’admet pas certaines pratiques qui peuvent être considérées comme de la triche : les postes automatisés sur Facebook, ou encore les faux comptes sur le réseau de l’oiseau bleu ne sont pas admis.

Le SEO à petit prix

C’est sans doute la solution la plus efficace pour faire du growthhacking sans être à côté de la plaque. Ici, c’est la sous-traitance de la rédaction qui est en jeu. L’effet est rapide, et vous n’aurez pas forcément à miser gros pour en profiter.

Si vous prenez la peine d’effectuer quelques recherches, vous verrez que ce ne sont pas les sites qui proposent des prestations du genre qui manquent. Mais vous vous doutez bien qu’il y a un hic quelque part : à partir de 15€ les 500 mots, vous n’aurez pas toujours de la top qualité sur les textes. Je vous conseille de vérifier constamment le contenu de vos textes pour ne pas tomber sur des trucs un peu suspects glissés au milieu.